Julie lors de la seconde manche, alors qu'elle a déjà
du retard au niveau des têtes de boeuf. Ou plutôt de l'avance
;-)
La seconde et la troisième manche permettent
à Julie de ramasser et de ramasser encore les têtes de boeuf,
et nous nous rendons progressivement compte que laisser le jeu en l'état
en fin de manche est préjudiciable à l'intérêt
ludique, puisque certaines rangées restent figées : trop
lourdes et en fin de vie (carte 104 en bout par exemple), elles ne sont
jamais choisies quand on joue une carte trop faible, ce qui nous contraint
à jouer sur moins de 4 rangées et à faire des choix
de cartes de plus en plus prévisibles (le plus petit possible,
puis en valeur croissante).
Notre aménagement n'est donc pas une bonne idée, mais nous
décidons de terminer la partie de la même manière.
Une vue rapprochée de la table en cours de partie...
Nous jouons la première manche de ce jeu à l'aide des règles d'origine, sans savoir si nous irons au bout de la partie. Nous trouvons le jeu très lent et prévisible, en raison du fait que nous ne sommes que 2 joueurs ce qui ne fait progresser les rangées avec rapidité...
Lorsque nous altaquons la seconde manche, nous décidons d'adopter une légère modification : nous ne re-mélangeons pas toutes les cartes et nous nous contentons de re-distribuer 10 cartes à chacun, tout en laissant les rangées en cours sur la table et en conservant nos tas de têtes de boeuf collectées.
Elle est pas belle la Dame Julie ? Coquine et maligne, on sent bien
que la carte qu'elle vient de jouer face cachée me réserve
un piège macchiavélique...
La configuration finale du jeu